Accident de voiture présumé : Sharon Stone devrait verser une indemnisation

Accident de voiture présumé
Sharon Stone devrait verser une compensation

En juin de l'année dernière, Sharon Stone aurait causé d'importants dégâts dans un accident de voiture. Une femme réclame des dizaines de milliers de dollars à l'actrice. L’homme de 66 ans aurait enfreint trois règles de circulation californiennes.

L'actrice Sharon Stone est poursuivie en justice pour 35 000 $ de dommages et intérêts suite à un prétendu accident de voiture. Comme le rapporte le magazine américain « People », une femme a intenté une action en justice pour dommages matériels et corporels devant la Cour supérieure de Los Angeles le 24 avril.

« L'accusée, Sharon Yvonne Stone, a provoqué la collision en conduisant trop vite pour les conditions de circulation et en prenant un virage dangereux », cite People dans le dossier. La star de « Basic Instinct » est accusée d'avoir conduit à grande vitesse et d'avoir effectué des manœuvres « dangereuses » qui l'ont amenée à entrer en collision avec une autre voiture, l'endommageant et blessant une femme. Celui-ci souligne que les dommages s'élèvent à 35 000 dollars américains et exige une indemnisation à hauteur de ce montant.

Selon des documents judiciaires, l'incident s'est produit le 30 juin 2023, en direction sud, à la sortie de la route 101 des États-Unis, à Coldwater Canyon Avenue, à Los Angeles. La victime de l'accident affirme que Stone « possédait, conduisait, conduisait, gérait et entretenait avec négligence un véhicule » à ce moment-là et a heurté sa propre voiture, lui causant « des blessures corporelles et des dommages matériels ». Les documents indiquent que l'actrice de 66 ans a violé au moins trois lois californiennes sur la circulation : excès de vitesse, virages dangereux et changement de voie dangereux.

La plaignante a souligné qu'elle avait également dû accepter une perte de salaire à la suite de l'accident. Elle a également dû payer des frais hospitaliers et médicaux et a subi une « détresse émotionnelle », des « dommages économiques » et des « dommages non économiques ».