Cour mondiale sous pression
En raison des « actions illégales » et de « l’abus de pouvoir » en lien avec Israël, le président américain Donald Trump menace le tribunal mondial des sanctions. Celles-ci deviennent maintenant une réalité: la jonction en chef Karim Khan ne sera plus autorisée à entrer aux États-Unis à l’avenir, les actifs sont gelés.
Dans le cadre d’un décret présidentiel, les États-Unis ont imposé des sanctions contre le retard de la Banque en chef de la Cour pénale internationale (ICC), Karim Khan. Le ministère américain des Finances a déclaré jeudi que les sanctions contre les Britanniques dans le cadre d’un décret correspondant du président Donald Trump le 6 février. Trump avait justifié sa décision la semaine dernière par le fait que le tribunal basé à La Haye avait « abusé de son pouvoir » en demandant un mandat d’arrêt contre le chef israélien du gouvernement Benjamin Netanyahu.
De plus, la CPI « des actions illégales et non fondées contre l’Amérique et nos alliés serrés », a indiqué le décret.
Le décret stipule que les gestionnaires, les employés et les employés impliqués dans les enquêtes ISTGH et les membres de leur famille seront interdits d’entrer aux États-Unis à l’avenir. De plus, tous les actifs que ces personnes possèdent aux États-Unis doivent être gelés. Il était initialement clair qui serait affecté.
79 États sont derrière ISGH
Les sanctions ont rencontré de larges critiques il y a une semaine. Le tribunal lui-même a déclaré vendredi dernier qu’il était censé nuire à son « travail juridique indépendant et impartial ». Dans une déclaration conjointe, 79 États ont fait référence à « le risque d’impunité pour les crimes les plus graves ». Les Nations Unies et l’UE ont également appelé Trump à annuler la mesure.
Dans le contexte de la guerre dans la bande de Gaza, la CPI avait émis un mandat d’arrêt international contre le chef israélien du gouvernement Netanyahu, son ancien ministre de la Défense Joav Gallant et le chef militaire de l’islamiste Palestinien Militia Hamas, Mohammed Deif. Ils sont accusés de crimes contre l’humanité et les crimes de guerre. Le Hamas avait confirmé la mort de Deif fin janvier.