Victoire et défaite pour Trump
Le gouvernement de Trump veut utiliser une vieille loi de guerre pour expulser des membres de gangs présumés sans procédures. Jusqu’à présent, tous les plats ont traversé, mais maintenant un juge en Pennsylvanie donne le feu vert. Cependant, avec une restriction importante.
Un juge de l’État américain de Pennsylvanie a fondamentalement approuvé l’expulsion des membres du cartel étranger des États-Unis sur la base d’une loi controversée de guerre du XVIIIe siècle. Cependant, ce n’est pas une victoire pour le gouvernement américain. La juge fédérale Stephanie Haines a également jugé que les autorités devaient informer les migrants concernés au moins 21 jours à l’avance et leur permettre de contester leur expulsion, de signaler le « Washington Post » et le Portal Politico. Le président américain Donald Trump avait nommé Haines en tant que juge fédéral lors de son premier mandat.
Dans le cas négocié, il s’agit d’un vénézuélien en Pennsylvanie. Le gouvernement Trump avait déclaré le gang de drogue vénézuélien Tren de Aragua dans une organisation terroriste étrangère. Elle soutient que Tren de Aragua exerce une « guerre irrégulière » contre le territoire américain. Par conséquent, la « loi sur les ennemis extraterrestres », une loi de guerre de 1798, peut leur être appliquée. Une interprétation que le juge Haines a maintenant confirmé.
Selon divers rapports des médias, c’est le premier jugement que Trump vous permet d’utiliser la loi pour l’expulsion. Plusieurs autres juges l’avaient déjà rejeté. Un gang criminel n’est pas le genre d’invasion soutenue par l’État, qui est une condition préalable à l’application de la loi, des tribunaux trouvés à New York, au Texas et au Colorado.
Le gouvernement Trump a expulsé des membres présumés de Tren de Aragua à la célèbre prison de haute sécurité de Cecot dans le Salvador d’Amérique centrale. Le ministère américain de la patrie n’a admis aux personnes touchées pendant 12 à 24 heures contre la déportation. Le juge fédéral a trouvé trop peu en Pennsylvanie. Le gouvernement doit donner aux personnes qui relèvent de la loi de trois semaines pour faire appel.
Le verdict en Pennsylvanie ne sera pas le dernier sur le sujet, d’autres procédures sont ouvertes à Washington. Le dernier mot devrait avoir la Cour suprême des États-Unis.